Les anciens propriétaires de ma maison natale
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[http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=delsevy&lang=fr;p=marie+catherine;n=barbier]
[http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=delsevy&lang=fr;p=francois;n=barbier]
[http://gw0.geneanet.org/index.php3?b=delsevy&lang=fr;p=catherine;n=marson]
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A la lecture des anciens actes notariés, on peut se rendre compte que cette maison, se trouvait divisée en deux parties habitables en 1826, avec une troisième partie composée d'un petit bâtiment (aujourd'hui détruit et reconstruit en habitation) que l'on appelait " la bûcherie ". En fait, il s'agissait d'une ancienne foulerie. Cette destination première date du XIX ème siècle. Foulerie utilisée probablement du temps de la filature installée à Saudrupt (1827-1871). Fouler consistait à comprimer les fibres (drap, coton, lainage) pour les renforcer en les enchevêtrant. On utilisait une terre à foulon ; sorte d'argile servant à dégraisser les textiles, dans des récipients contenant des eaux alcalines. Les deux parties habitables furent réunies en une seule vers 1912 par les époux Meyer-Maginot. La maison formait alors un tout au moment de l'achat par nos grands-parents et cela a duré jusqu'en 1959 par acte passé en l'étude de Maître Schoubert, notaire à Saudrupt. Les documents rassemblés dans les archives familiales ne permettent pas de remonter le temps au delà de l'année 1826. Dans le premier quart du XIX ème siècle, la maison appartenait à la famille Martinet. Pour mieux la situer on se reportera à la reconstitution partielle de sa généalogie, établie dans ma généalogie en ligne (cliquer sur le lien en bas de page et pour accéder directement à la fiche des personnes, cliquer sur leur liens hypertexte.) Avant le 27 juillet 1826 (acte passé devant Maître Pierre, notaire à Bar-le-Duc) une partie appartient au sieur Jean Claude Martinet, né vers 1767, et à son épouse, la dame Marie Barbier. Il est le fils de François Martinet et de Marie Jeanne Baillot. Le 30 décembre 1764 il épouse à Saudrupt, Marie Catherine Barbier, fille de François Barbier et de Catherine Marson. Ce couple est décédé à Saudrupt, elle le 6 juin 1838, à l'âge de 74 ans et lui, le 29 septembre 1847 à l'âge de 80 ans et leurs corps sont inhumés au cimetière de Saudrupt. L'histoire locale à laissé quelques traces de cette branche familiale : Jean Claude Martinet, qui exerçait le métier de maréchal ferrant, fut nommé conseiller municipal de la commune en 1817. Au cours de l'année 1818, " pour avoir refusé de prêter serment de fidélité au Roi, Jean Claude Martinet et Nicolas Rémi Parisot sont remplacés par Nicolas Louis Boucher, notaire à Saudrupt et par Brêche Mansuy, bûcheron. " En 1807, le couple Martinet-Barbier donne naissance à un fils, François Hippolyte (1807-1884) qui unira sa destinée à Ville-sur-Saulx, le 15 avril 1834, avev Marie Catherine Parise, fille de Pierre Parise et de Marguerite Catherine Nollet. Jean Claude Martinet avait un frère nommé Nicolas François, né vers 1774 dont le tombeau au cimetière de Saudrupt était situé coté mur de Ville-sur-Saulx et sur lequel, il y a quelques années encore, on pouvait lire : " François Martinet, serviteur de la Fidelle, Vétérande République et de l'Empire, décédé dans sa 100 ème année le 25 mars 1874. A la mémoire d'Emeline Royer, son épouse. " On trouve encore la trace de Nicolas, François Martinet, dans les délibérations du conseil municipal du 15 février 1811 : " Nicolas, François Martinet, militaire en retraite, âgé de trente cinq ans, avec François Aubriot, membre de la légion d'honneur, militaire en retraite, âgé de trente neuf ans, ont la charge de : - veiller à la conservation de toutes les propriétés qui sont sous le joug public, particulièrement des récoltes et fruits de la terre - dresser des procès verbaux dans les vingt quatre heures - se conformer aux lois et règlements notamment à la loi du 6 octobre 1791, au décret du 11 janvier 1806, au nouveau code d'instruction criminelle de 1808 et à l'instruction du 9 janvier 1811. Ils exerceront cette charge jusqu'au 1er janvier 1816. "
accédez à la descendance de François MARTINET et Marie Jeanne BAILLOT telle que j’ai pu la reconstituer dans mon arbre en ligne
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