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Le 27 juillet 1826, les époux Martinet-Barbier, vendent leur partie au sieur Gabriel Hommenchouck, manœuvre, demeurant à Jeand'Heurs et à son épouse, la dame Marie Anne Charuel. Je ne trouve aucune trace du patronyme Hommenchouck dans les tables des mariages de Saudrupt, ni du secteur. Par contre, je trouve des Charuel dans le secteur de Trémont-sur-Saulx, pour les dates de mariage comprises entre 1736 (Guerry Charuel de Chaumont-sur-Aire) et 1839 (Melchior Charuel), sans que je puisse établir de lien avec Marie Anne Charuel. D'après les notes manuscrites de mon père, le sieur Gabriel Hommenchouck était attaché au Duc de Reggio en qualité de garçon de charrue et devait travailler à la ferme de Jeand'Heurs. Ne disposant ici d'aucun acte, seule une note manuscrite de mon père, probablement rédigée après une recherche faite aux archives de la Meuse, donne une explication d'une partie de la maison : " Avant 1838, Nicolas Guyot et Marguerite Martinet son épouse, étaient propriétaires de la partie de notre maison, coté ruelle Coutelot. Mr Nicolas Guyot étant décédé, sa veuve Marguerite Martinet, dans un testament reçu par M° Goffart, notaire de Saudrupt, le 26 janvier 1838, donne cette partie de maison à titre de partage anticipé à sa fille, Marie Guyot qui est mariée à Vurtz (sa première épouse). Au décès de Mme Vurtz, née Marie Guyot, c'est son mari Mr Vurtz qui devient légataire, donc propriétaire. " Le 31 mai 1852, par acte passé devant Maître Désiré Auguste François Goffard, notaire à Saudrupt, les époux Hommenchouck-Charuel vendent cette partie immobilière au sieur Claude Bailly, ancien garde forestier demeurant à Saudrupt et à son épouse, la dame Françoise Grosjean. Les tables des mariages de Saudrupt me permettent d'avoir la trace de ce couple à l'occasion du mariage de leur fils à Saudrupt : Claude Eugène Bailly, fils de Claude Bailly de Thillombois et de Jeanne Françoise Grosjean, épouse à Saudrupt le 13 octobre 1852, Thérèse Estelle Guemann, fille de Pierre Guemann et de Jeanne Françoise Leroy. Le sieur Claude Bailly était donc natif, ou venait de Thillombois. A-t-il acheté, avec son épouse, cette maison pour y installer leur fils qui allait se marier ? S'y étaient-ils installés eux-mêmes ? Nous n'en savons rien. Toujours est-il que cette acquisition ne sera pas restée longtemps dans cette famille puisque trois ans plus tard un nouvel acte de vente est réalisé. Je trouve, une annotation de mon père avec les diverses photos de la partie que l'on appelait " la bûcherie " : " …Vurtz échange la bûcherie en 1852 à la famille Noël qui revendra cette partie en 1902 à Mr Henry … " On peut donc penser qu'avant 1826, la maison appartenait en totalité aux parents Martinet-Baillot. Elle est peut-être passée par héritage à Jean Claude Martinet (fils) et à Marguerite Martinet (fille). Du moins, c'est ce qui peut sembler transparaître du cadastre de 1829 car la maison est divisée en trois parcelles. Les parcelles numéro 1 et numéro 3 devant être à Marguerite Martinet et la parcelle numéro 2 à Jean Claude Martinet. S'il s'agit bien d'un héritage, on peut penser que les autres enfants (Marie Madeleine, Thérèse et François) n'ont pas été concernés par cette maison car aucune trace n'est trouvée d'eux, sur cette partie immobilière.
Au premier plan le petit bâtiment de l’ancienne foulerie
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