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Le 25 novembre 1854, intervient un nouvel acte notarié passé devant Maître Parisot, notaire à la résidence de Saudrupt qui porte le titre suivant : " Titre nouvel, de la somme de 3150 frs par les époux Bailly-Grosjean de Saudrupt, au profit des héritiers Martinet " Ainsi par cet acte : " … on comparu : 1°) Hippolyte Martinet, maréchal ferrant demeurant à Saudrupt, agissant en qualité d'héritier pour moitié sur sieur Jean Claude Martinet, son père décédé (le 29/09/1847) - 2°) Jean Baptiste Marjollin, papetier et dame Léonie Martinet son épouse qu'il autorise, demeurant ensemble à Lisle-en-Rigault, agissant tant en leurs noms personnels qu'au nom et comme se portant fort solidairement entre eux : 1) Du sieur Adolphe Martinet frère de la dite dame Marjollin, maréchal ferrant demeurant à Rovigo (Algérie)- 2) Demoiselle Auzénie Martinet, mineure sans profession, domicilié à Brillon - 3) et de Jean Emile Martinet, mineur sans profession, domicilié à Saudrupt, par lesquels mineurs ils s'obligent sous la dite solidarité à faire ratifier les présentes au fur et à mesure qu'ils atteindront leur majorité, mais au frais de personnes qui exigeront cette ratification, tous d'une part. La Dame Marjollin, le sieur Adolphe Martinet, les mineurs Célestine Auzénie Martinet et Jean Emile Martinet en qualité d'héritiers conjointement pour l'autre moitié du dit feu Jean Claude Martinet, leur aïeul paternel par représentation du sieur Félix Martinet, leur père décédé à Brillon, lequel était fils du dit Jean Claude Martinet. - 4°) Monsieur Claude Bailly, ancien garde forestier et dame Françoise Grosjean qu'il autorise, demeurant ensemble à Saudrupt, d'autre part. Lesquels pour parvenir au titre nouvel qui doit faire l'objet des présentes, ont préalablement exposé ce qui suit : Aux termes d'un contrat passé devant Maître Pierre, notaire à Bar-le-Duc le vingt sept juillet mil huit cent vingt six, enregistré, le sieur Jean Claude Martinet susnommé et dame Marie Barbier son épouse, demeurant ensemble à Saudrupt, ont vendu au sieur Gabriel Hommenchouck, alors attaché au service du maréchal Duc de Reggio et à Marie Anne Charuelle sa femme, demeurant ensemble à Jand'Heurs, une maison avec jardin derrière, aisances, sise à Saudrupt grande rue, en face de l'église, moyennant une somme constituée de trois mille francs, stipulée remboursable à la volonté des dits acquéreurs, par paiement partiels, non moindres de cinq cents francs et production d'intérêts à raison de cinq pour cent par an, sans retenue, payables annuellement, à l'échéance du vingt sept juillet de chaque année, jusqu'à solde. Suivant contrat passé devant Maître Goffart, notaire à Saudrupt, le trente un mai mil huit cent quarante deux, les époux Hommenchouck susnommés ont revendu les maison et jardin désignés ci-dessus aux dits sieur et dame Bailly, comparants, moyennant pareille somme constituée de trois mille francs, délégué par ce contrat au dit sieur Jean Claude Martinet, vendeur primitif et stipulée productive jusqu'à solde d'intérêts à cinq pour cent par an, sans retenue payables annuellement à la dite échéance du vingt sept juillet de chaque année. Jusqu'alors cette délégation n'a pas encore été acceptée. Les dits immeubles provenaient au dit sieur Jean Claude Martinet de ses propres, de sorte qu'après le décès de la dame Marie Barbier son épouse, la créance de trois mille francs susénoncée lui est restée propre, en conformité des dispositions de l'article 1433 du code Napoélon. Le sieur Jean Claude Martinet susnommé est décédé à Saudrupt le vingt neuf septembre mil huit cent quarante sept, laissant pour seuls héritiers, savoir : 1°) le sieur Hippolyte Martinet, son fils susnommé, pour moitié. - 2°) Et la dame Marjollin, le sieur Adolphe Martinet, les mineurs Célestine Auzénie Martinet et Jean Claude Martinet, susnommés ses petits enfants, conjointement pour l'autre moitié, ou chacun d'eux pour un huitième, par représentation du sieur Jean Félix Martinet, leur père décédé. Le tout ainsi qu'il est établi en l'intitulé de l'inventaire dressé après le décès du dit feu Jean Claude Martinet, par le notaire soussigné, le neuf octobre mil huit cent quarante sept.”
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